Ilest aussi utilisé comme encens. En se consumant, le Palo Santo produit une fumée censée nettoyer et purifier l’atmosphère contre les mauvais esprits, les énergies et les forces négatives. Le Palo Santo est utilisé par les guérisseurs et les chamans aux cérémonies d’ayahuasca, et pendant certains rituels. L’esprit de Palo Santo est censé également enrichir la créativité
Onne peut pas résoudre la difficulté en disant que les passages cités visent uniquement la communauté, que celle-ci pouvait aussi se rendre coupable de péchés « à main levée », qu’elle n’avait alors d’autre moyen de salut que la repentance et le changement de vie ; c’est tout à fait contraire au sens de plusieurs d’entre eux, qui concernent des individus (Psaume 51 Psaume
del’encens. En se consumant, l’encens diffuse une odeur parfumée que le célébrant répand autour de lui en agitant plus ou moins longuement l’encensoir. Le rite est souvent repris tel qu’il a été transmis par la tradition liturgique, mais sans que les fidèles qui assistent à ces cérémonies connaissent exactement sa
Bonà savoir : un bâton de Palo Santo ne s’utilise pas qu’en une fois ! Pour une utilisation régulière, votre bâton se consume en minimum 1 mois. Le Palo Santo pour son Aura. Allumez votre bâton de Palo Santo pendant quelques secondes. Veillez à faire le vide dans votre esprit puis tournez 3 fois sur vous-même pour vous entourer de
Messéances de roqya s’organisent en 4 étapes. 1) Le diagnostique. 2) La pose des ventouses dans certains cas (pour les hommes). 3) La lecture du Coran. 4) Le traitement. Chacune des ses étapes est primordiales pour la guérison de la personne, je vais essayer de détailler l’objectif de ces étapes. 1)Le diagnostique.
Or nous savons que ces modes de chasse ne sont pas sélectifs et que de nombreux oiseaux dont la chasse n’est pas autorisée seront les victimes collatérales de ces traditions arriérées. L’Alouette des champs a perdu 30% de ses effectifs en 15 ans et même les chasseurs déplorent la diminution de leurs prises, qu’ils attribuent à la dégradation de
sIdP. Bonjour, je voudrai savoir la signification quand l'encens a brûlé la cendre est resté attaché et c'est enroulé. La cendre est tombée que quand elle a fini de se consumer mais toujours en cercle ? Merci d'avance pour vos réponses par orian » Lun 07 Aoû 2017, 0625 Bonjour Kalou,Non en fait il n'y a pas de signification particulière dans le fait que les bâtonnets d'encens restent en cercle après utilisation, en fait ils sont prévus pour cela, cela tient au fait qu'ils sont fait avec une colle végétale gomme arabique qui assure le maintient de l'encens et empêche le bois du sysal je crois de tomber en poussière, autre paramêtre a prendre en compte c'est le fait que l'ensemble "ne brûle pas" mais se consume doucement et lentement, l'effet "en cercle" vient seulement du fait que le bois a tendance a se rétracter sous l'action de la chaleur et de la gravité terrestreCet effet cercle étant calculé et prévu à l'origine il n'y a donc pas à lui donner une signification particulière à moins que tu ne le veuilles ainsi bien sur Voila, qu'en penses tu ?bonne journéeOrian Toujours au rendez-vous Messages 1937Inscription Mar 25 Aoû 2015, 1714 par kalou267 » Lun 07 Aoû 2017, 0850 merci pour ta réponse je me posais la question car c'est la première fois que ça m'arrive d'habitude cet encens ne fait pas ça donc je me suis posée la question merci encore par orian » Lun 07 Aoû 2017, 1143 De rien Kalou,Peut être que les bâtonnets de ce paquet sont d'une qualité différente de ceux utilisés par cette marque d'habitude ?bonne journéeOrian Toujours au rendez-vous Messages 1937Inscription Mar 25 Aoû 2015, 1714 par Kinthia » Lun 21 Aoû 2017, 1141 Perso, j'utilise des bâtons aussi et chez les asiatiques, je sais que c'est un outil utilisé pour communiquer avec les morts. Mon père dit que quand la cendre reste attachée au bâton ça veut dire qu'on a des esprits à la maison. Je l'utilise très souvent aussi comme un outil pour communiquer avec un esprit en particulier. A chaque fois que je l'ai utilisé j'ai toujours obtenu une réponse. Celle qui m'a le plus marqué c'était pour annoncer le signe astrologique de mon bébé... Et pourtant c'était compliqué à réaliser deux boucles. J'en parle dans mon livre justement Pour des consultations privées, rendez-vous iciVous souhaitez faire un don pour le forum et ainsi participer à sa vie, utilisez le bouton ci-dessous. D'avance, merci pour chaque don quelque soit sa valeur . Plus de détails ici Administrateur Messages 38760Inscription Mer 23 Aoû 2006, 1947Localisation La tête dans les étoiles Site Internet par rouge pivoine » Lun 21 Aoû 2017, 1144 Bonjour kaloun'oubliez pas de lire et de signer la charte svp. Administrateur Messages 81913Inscription Dim 27 Aoû 2006, 1203 Site Internet Signification du tirage - Tarots de marseille par aztlan » Sam 28 Juil 2007, 1552 2 Réponses 815 Vus Dernier message par aztlan Sam 28 Juil 2007, 1603 Signification ? par Kero » Ven 14 Sep 2007, 1658 2 Réponses 991 Vus Dernier message par Kero Ven 14 Sep 2007, 1848 Signification 11 h 11 par Fan » Dim 17 Oct 2010, 1114 8 Réponses 9689 Vus Dernier message par vanillee Lun 18 Oct 2010, 1027 Les huiles essentielles moins toxiques que l'encens ! par notule » Jeu 10 Jan 2008, 0103 17 Réponses 1308 Vus Dernier message par izzy Mer 15 Oct 2008, 1328 Esprits des plantes / des encens par Chippy Girl » Dim 31 Mai 2009, 2042 13 Réponses 1213 Vus Dernier message par Chippy Girl Mar 23 Juin 2009, 0926 Utilisateurs parcourant ce forum Aucun utilisateur enregistré et 0 invités
L’expression "encenser quelque chose ou quelqu’un" signifie en dire beaucoup de bien… C’est bien la preuve que l’encens a des vertus bénéfiques ! Encore faut-il le manier à bon escient... La fumée claire et odorante qui s’élève de l’encensoir durant les offices s’adresse aussi bien à la vue qu’à l’odorat et nous met en condition pour prier durant les offices. Cet usage millénaire est présent dans tous les lieux religieux mais aussi dans nos maisons. Encore faut-il savoir le manipuler pour ne pas risquer l’incendie ni de respirer un air pollué. Mais pourquoi se priver des effets de l’encens qui, bien utilisé, peut contribuer à votre sérénité ?D’où vient l’encens ?Encensement de l’autel de Notre-Dame de Paris, en Deloche / GODONGL’encens vient de la résine de Boswellia, un arbuste originaire du Dhofar, dans l’actuel sultanat d’Oman, pas plus haut de trois mètres, aux feuilles piquantes et aux fleurs roses. Pour récolter cette résine, on procède comme pour la résine de pins dans les Landes ; on incise l’écorce et on enlève un lambeau étroit et long, on racle ensuite l’endroit dégagé, et on récolte les concrétions de gomme-résine en les faisant tomber dans un récipient. Les sécrétions de résine, durcies au contact de l’air, sont collectées deux à trois semaines plus tard ; ces gouttes solidifiées peuvent mesurer plus de 2 plus cher que l’orOn produit environ 2000 tonnes par an de cette résine aromatique naturelle qui se consume en dégageant une fumée odoriférante. D’une plus grande valeur marchande que l’or, l’encens fut le plus important commerce du monde antique et médiéval et fit la prospérité des royaumes de la péninsule n’est pas un hasard si l’encens était un des présents que les roi mages déposèrent au pied de l’enfant Jésus dans la crèche ! Ils offrirent de l’or, car c’est un roi ; la myrrhe, car il est mortel et de l’encens, car il est de nature divine. Mais l’intérêt de cette résine, que l’on pile ou réduit en petits grains avant de la poser sur le charbon de l’encensoir, réside dans sa combustion, d’où son nom qui vient du latin incensum qui veut dire ce qui est brûlé ».L’usage mystique de l’encensDans l’ancien testament comme dans le nouveau, l’encens brûlant est le symbole de la prière Que ma prière monte devant vous comme l’encens et mes mains, comme l’offrande du soir » Ps. 140, 2. Et dans le dictionnaire de liturgie, Dom Robert le Gall affirme En utilisant l’encens, l’Église affirme concrètement son adoration et sa prière. » Si les premiers chrétiens semblaient se méfier de l’usage de l’encens par crainte des idoles, l’usage cultuel de l’encens était répandu dans toutes les religions depuis l’ sans doute par les rites funéraires que l’usage de l’encens est entré dans le culte chrétien. Cette combustion, qui consume l’encens jusqu’à le réduire en cendre, symbolise l’offrande que le Christ fait de lui-même à son Père. Une offrande à laquelle s’associe toute l’Église, notamment lors de la messe. C’est est un symbole de vénération, de purification et de au cours de la messe© Bilderstoeckchen – shutterstockSi l’usage de l’encens n’est pas obligatoire durant la messe, il nous aide, en s’adressant à la vue et à l’odorat, à nous mettre en prière. Aussi, le servant de messe présente l’encensoir au prêtre à plusieurs reprises pendant la messe ; durant la procession d’entrée, le prêtre encense l’autel ainsi que la croix ; avant la lecture de l’Évangile, le livre est encensé ; durant l’Offertoire , le pain et le vin, qui deviendront le Corps et le Sang du Christ, sont encensés, puis le célébrant, les ministres et enfin l’assemblée ; et enfin au moment de la consécration, lors de l’élévation du Corps et du Sang du Christ. On utilise aussi l’encens lors des funérailles, des expositions du Saint Sacrement, lors de certaines processions et lors des vêpres solennelles au moment du chant du Magnificat ». L’usage domestique de l’encensL’encens s’utilise aussi en privé, en particulier dans son coin prière, car il permet de créer une atmosphère propice à l’oraison. Mais ce compagnon de méditation peut aussi être utilisé pour un usage profane. Car la résine de Boswellia a de nombreuses propriétés thérapeutiques. En plus d’être un anti-inflammatoire naturel puissant et un ami des poumons obstrués ou asthmatiques, l’encens a également des propriétés d’antidépresseur car il agit sur les zones du cerveau qui contrôlent l’humeur ! Une étude américaine de 2008 a démontré ce que l’on savait de manière empirique depuis des siècles l’encens procure un bien-être dont il serait dommage de se priver. Malgré tout, il faut se rappeler que celui-ci n’a rien d’ésotérique ou magique, il est simplement du aux substances naturelles que dégage l’ choisir l’encens…Aujourd’hui, on trouve de l’encens sous de nombreuses formes ; en grain, en cône en bâtonnets et même en huile essentielle. Pour choisir celui qui correspond à l’usage que vous voulez en faire, prenez soin de bien lire la composition et ne faites confiance qu’à l’encens 100% naturel. Les bâtonnets de bambou de toutes les couleurs sont trop souvent fabriqués avec des parfums de synthèse. Si vous en trouvez en grains, non manufacturés, c’est encore mieux…Et méfiez vous des encens pas chers lorsqu’on connaît le prix de la matière première, on comprend mieux son prix dans le commerce……Et bien le faire brûlerEnfin, choisissez avec soin le dispositif nécessaire pour le faire brûler pour ne pas risquer d’incendie. Les systèmes utilisant des bougies ne donnent pas assez de chaleur pour brûler l’encens correctement. Le charbon en pastille est certainement la meilleure solution mais il demande une surveillance minutieuse et un contenant en terre, métal ou céramique isolé du support sur lequel il est les encens en bâtonnets ou en cônes doivent eux aussi être placé sur des supports non combustibles et stables. Et quand l’encens s’est consumé, il ne faut pas pas oublier d’aérer ! On a constaté dans un temple bouddhiste que l’air était dix fois plus pollué qu’à un carrefour avec une circulation intense.
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Cette exposition aborde de manière inédite la civilisation chinoise à travers l’art de l’encens et du parfum en Chine depuis le IIIe siècle avant notre ère jusqu’au XIXe siècle. Près de 110 objets d’art et d’archéologie rassemblés pour la première fois invitent à un véritable voyage à travers la civilisation dessins, bronzes ou toiles issus des collections du musée de Shanghai et présentés en Europe pour la première fois sont accompagnés par une vingtaine de pièces issues des collections du musée Cernuschi. La découverte de ces prêts exceptionnels va plonger le visiteur au cœur d’un parcours muséographique et sensoriel original ponctué par des expériences olfactives qui rythment les étapes du cheminement chronologique de l’ Hongshou, Femme parfumant ses manches sur un brûle-parfum, détail, encre et couleurs sur soie, Dynastie des Ming 1368-1644.c Musée de ShanghaiDoté d’une symbolique qui s’enrichit au fil du temps, le parfum permet d’aborder de nombreux aspects de la culture chinoise. Depuis sa signification dans les pratiques liturgiques jusqu’à son association à l’art de vivre des lettrés, l’encens a suscité une grande diversité de productions artistiques. Des brûle-parfums aux tables à encens, l’histoire du parfum en Chine permet d’aborder les plus brillantes créations artistiques, et ce à travers une grande diversité de médiums. En effet, les œuvres présentées permettent au public de découvrir un vaste aperçu des savoir-faire des artisans de Chine, depuis les techniques des bronziers, des laqueurs, ou des sculpteurs sur bambou. Enfin, un ensemble de peintures signées de grands noms, comme Chen Hongshou ou Qiu Ying, mettent en scène belles dames, ermites et lettrés dans leur rapport à l’encens, qu’il soit associé à la toilette, à la méditation ou au rituel. UN PARCOURS HISTORIQUE ET OLFACTIF1ère partie. L’encens pratiques rituelles et profanes des Han aux Tang IIIe siècle av. siècle apr. la période des Zhou 1046-256 av. la culture de l’encens était indissociable des rites, les parfums jouant un rôle d’intercesseurs entre les humains et les divinités. La combustion des différentes matières au cours des cérémonies produisait une fumée aux effluves puissants dans le but d’invoquer les dieux et les esprits, mais aussi de chasser les influences maléfiques, causes de à l’unification de l’empire en 221 av. le développement des voies commerciales sous les Han 206 av. apr. permit d’introduire en Chine des bois et résines venus d’Asie du Sud-Est et du Moyen-Orient. Lors du règne de l’empereur Wudi des Han 漢武帝 r. 141- 87 av. dont les conquêtes favorisèrent l’intensification des échanges diplomatiques et commerciaux, la cour bénéficiait d’un vaste éventail de parfums exotiques. La découverte du bois de santal tanxiang 檀香, du camphre naoxiang 腦香, du benjoin anxixiang 安息香 et de l’encens oliban ruxiang 乳香 – qui dégagent des parfums intenses – donna lieu à des compositions nouvelles, témoignant de l’apparition d’une culture de l’encens en dehors du contexte tripode ajouré, céramique aux cinq couleurs et or, four de Jingdezhen, Dynastie des Ming XIVe s. – XVIIe s. apr. Musée de ShanghaiLe bouddhisme parvint en Chine sous le règne de l’empereur Mingdi des Han 漢明帝 r. 57-75. Il fallut pourtant attendre les traductions des principaux textes sacrés du bouddhisme pendant la période des Six Dynasties 220-581 et des Tang 618-907 pour que les pratiques indiennes de l’encens fassent pleinement partie de la culture chinoise. Les bois et résines importés étaient en effet essentiels dans les offrandes rituelles bouddhiques d’encens, comme en témoigne une stèle du temple Famen 法門寺 commémorant les quantités importantes d’encens oliban, de santal, et de girofle dingxiang 丁香 offertes par l’empereur Yizong des Tang 唐懿宗 r. 859-873.En insistant sur l’importance des matières aromatiques en tant qu’offrandes rituelles, le bouddhisme a donné lieu à une iconographie nouvelle où la représentation des brûle-parfums et des fidèles offrant de l’encens occupe un rôle primordial. Parallèlement, la littérature de cette époque a offert de nombreuses images des usages du parfum dans la sphère le Chant du palais retiré, le poète Bai Juyi 白居易 772-846 évoque une beauté dont la jeunesse se consume dans la solitude Femme au teint encore rose et déjà délaissée, Penchée sur son brûle-parfum, en attendant l’aube. »Bourse à parfum à motifs de fleurs et de caractères longévité shou » – Dynastie Qing 1644-1911 c Musée de ShanghaiUn parcours olfactifDes expériences olfactives sont proposées aux visiteurs. Au fil du parcours, ils découvrent des recettes anciennes d’encens datant des grandes périodes de l’histoire de la Chine jusqu’au XIXe siècle Six dynasties, Tang, Song, Ming et parcours olfactif…Le parfumeur-créateur de la maison Dior Parfums, François Demachy a réinterprété des parfums à partir des formules chinoises anciennes traduites et sélectionnées par le conseiller scientifique de l’exposition Frédéric Obringer CNRS.Dès le début de l’exposition les matières premières utilisées telles le bois d’aigle, le bois de santal, l’ambre gris, le musc, le patchouli, l’encens d’oliban, le styrax, le camphre, le clou de girofle et le benjoin sont présentées. Des éléments d’informations comme l’origine de la recette, ses principaux composants, les gestes qui président à la combustion de l’encens sont proposés parallèlement afin d’enrichir et de documenter la découverte olfactive du à encens, porcelaine bleue et blanche, four de Jingdezhen, Dynastie des Ming XIVe s. – XVIIe s. apr. musée de Shanghai © Musée de ShanghaiBorne olfactiveRecette des Six Dynasties, entre l’an 222 et 589 Recette du Parfum aux six ingrédients pour fumer les vêtements Liu wei xun yi xiang 六味薰衣香Les matières premières utilisées sont ici le bois d’aigle, le musc, la résine de liquidambar, le clou de girofle…2ème partie. Parfum et culture lettrée sous les Song et les Yuan Xe -XIVe siècleSous les Song 960-1279, les pratiques liées à l’encens sont transformées par la nouvelle élite lettrée dont le pouvoir est indissociable du savoir véhiculé par le livre imprimé et du recrutement des fonctionnaires impériaux par examens. Le parfum devient partie intégrante de la culture lettrée développement des sciences qui caractérise cette époque s’accompagne de remarquables progrès dans les connaissances botaniques. De nombreuses plantes originaires de Chine, comme la pivoine shaoyao 芍藥, le chrysanthème juhua 菊花 ou l’orchidée lanhua 蘭花, sont décrites et classifiées avec précision dans des traités spécialisés, tandis les végétaux exotiques qui, bien souvent, entrent dans la composition des parfums sont mieux connus grâce à des ouvrages de géographie comme celui de Fan Chengda 範成大 1126-1193 sur la Chine la première fois, plusieurs ouvrages uniquement consacrés aux parfums sont publiés. Si le Xiangpu 香譜 Traité des parfums de Hong Chu 洪芻 vers 1115 est le plus ancien, l’ouvrage de Chen Jing 陳敬 XIIe -XIIIe siècle, qui porte le même titre, est le plus célèbre. Ces sources écrites spécialisées permettent de connaître avec précision les matières de prédilection, les modes de composition et les usages de l’encens sous les toutes les matières, le bois d’aigle ou bois d’aloès chenxiang 沉香 s’impose. Ce bois dont le pouvoir odoriférant vient d’une résine qui se forme dans les arbres victimes d’une atteinte fongique ou bactérienne faisait déjà partie de la pharmacopée chinoise durant les dynasties du Nord et du Sud 420-589. Sous les Tang 618-907, l’encens de bois blanc baimuxiang 白木香, un type de bois d’aigle de l’île de Hainan, est utilisé comme tribut et répertorié officiellement. Cependant, c’est sous les Song que la renommée du bois d’aigle de Hainan atteint son sommet parfum préféré des lettrés, il sert de base pour la réalisation de nombreuses représentant la consumation de l’encens, éventail circulaire en soie, AnonymeDynastie des Yuan XIIIe s. – XIVe s. apr. 5c Musée de ShanghaiLes premiers bâtonnets d’encens, apparus sous les Song, gagnent en popularité sous les Yuan 1279-1368. Néanmoins, l’encens est encore très largement consommé sous la forme de galettes adaptées aux nouvelles formes des brûle-parfums conçues, à cette époque, pour le cadre domestique. La création de brûle parfums de petite taille aux formes d’une simplicité parfaite est indissociable du mode de vie des lettrés, qui accordent une place importante à l’encens dans leurs activités de lecture ou de méditation. Ces valeurs, partagées par l’empereur Gaozong des Song 宋高宗 r. 1127-1162 en personne, qui ne dédaignait pas de composer des parfums, ont fait de l’encens une composante essentielle de la culture olfactiveDynastie des Song, entre l’an 960 et 1279 Recette du Sceau d’encens du grenier public de Dingzhou Dingzhou gongku yinxiang tiao 定州公庫印香條Les matières premières utilisées sont le bois d’aigle, le bois de santal, le patchouli…3ème partie L’encens comme art de vivre sous les Ming XIVe -XVIIe siècle Le studio du lettréPar bien des aspects, les élites de la dynastie Ming se considèrent comme les héritiers de la culture lettrée apparue sous les Song. Au XVe siècle, le style de vie des lettrés est devenu un modèle social auquel aspire la classe aisée qui trouve dans l’éducation et les fonctions administratives le moyen de s’élever dans une société soutenue par une économie dynamique. Ainsi, les fonctionnaires, et les riches commerçants à leur suite, font rayonner la culture lettrée. L’encens joue un rôle majeur dans cet art de vivre codifié par Gao Lian 高濂 act. 1580-1600 ou Wen Zhenheng 文震亨 1585- 1645, qui s’imposent comme de véritables arbitres des dix-huit lettrés, Anonyme, encres et couleurs sur soie, Dynastie des Ming XIVe s. – XVIIe s. apr. c Musée de ShanghaiSigne social, l’encens est un attribut indispensable du cabinet d’étude du lettré. Il y fait l’objet d’une grande attention car, ici, chaque objet doit dénoter le goût de son propriétaire, comme le suggère Wen Zhenheng Placez une table japonaise grande et carrée sur le lit de jour. Vous y disposerez un brûle-parfum, une grande boîte pour l’encens maturé ou nouveau, deux petites pour le bois d’aigle et les galettes d’encens, notamment, et un vase à ustensiles pour l’encens. On ne peut pas utiliser deux brûle parfums dans un studio, ni placer le brûle-parfum sur une table disposée contre une peinture, ou encore le placer en symétrie d’un vase ou d’une boîte. En été, il conviendra d’utiliser un brûle-parfum en céramique et en hiver un en bronze. »La matière des brûle-parfums, leur forme et leur provenance font l’objet de choix à la fois pratiques et esthétiques d’une grande précision. Il en va de même des boîtes et vases à instruments qui accompagnent le brûle-parfum. La qualité des aromates est bien sûr essentielle. Le santal tanxiang 檀香, l’ambre gris longxianxiang 龍涎香 et le bois d’aigle chenxiang 沉香 peuvent être consumés purs, mais les nombreuses recettes de l’époque trahissent un goût pour les encens composés. À ces trois précieuses matières, on peut notamment ajouter du camphre naoxiang 腦香, du clou de girofle dingxiang 丁香, de l’avoine odorante maoxiang 茅香, du musc shexiang 麝香 et du nard de Chine gansong 甘松. Brûle-parfum canard ». Bronze. Dynastie Han de l’Ouest 202 av. à 220 ap. musée CernuschiDans l’idéal lettré, le parfum, discret, s’adresse à un nez éduqué qui y décèle mille fragrances ; il révèle les gens élégants » ya 雅. Dans la société Ming, cette éducation est en lien avec l’érudition parfum et littérature sont intimement associés. Ainsi l’on dit d’une belle peinture qu’elle diffuse un parfum de littérature » et l’on distingue les beaux livres à leur incomparable parfum…Borne olfactiveDynastie des Ming, entre l’an 1368 et 1644 Recette de la fleur de jade Yuhua xiang 玉華香Les matières premières utilisées sont l’encens de la fleur de jade, le bois d’aigle, le bois de santal, l’oliban, le clou de girofle, le musc, le camphre, l’huile de liquidambar, la cannelle…4ème partie L’encens comme art de vivre sous les Ming XIVe -XVIIe siècleDévotions privéesÀ l’intérieur des résidences des élites chinoises de la dynastie Ming, le parfum était présent dans la salle principale, où l’autel des ancêtres occupait une place centrale. Mais l’encens était également utilisé dans d’autres pièces, privées, où pouvait être disposé un autel bouddhique ou taoïste, sans exclusivité de culte selon le système de croyances de l’ pour la dévotion privée, toutes traditions confondues, était garni d’un ensemble de trois ou cinq objets rituels san/wu juzu 三/五具足 composé d’un brûle-parfum encadré d’un ou de deux chandeliers, et du même nombre de vases à fleurs. Ce mode de présentation, emprunté au temple, se retrouve dans d’autres contextes ainsi, lors de fouilles archéologiques réalisées en 1972, une tombe de la région de Shanghai a livré un ensemble de cinq objets rituels en étain exposés dans cette accompagnait aussi la méditation. Quand on médite, il faut purifier la pièce et brûler de l’encens », souligne Gao Lian 高濂 act. 1580-1600, pour qui la méditation n’évoque pas seulement un recueillement bouddhique, mais aussi des pratiques de santé associées au taoïsme. Au XVIe siècle, la méditation jingzuo 靜坐 était une pratique courante chez les lettrés. Dans ce contexte, le parfum constituait à la fois un agrément participant au bien-être et une purification permettant d’assainir l’espace et de le protéger contre les influences néfastes. Un grand nombre de poèmes témoigne de l’association de l’encens à ces pratiques, ainsi qu’à celle de la lecture dans le cabinet du lettré Seul en méditation, sous l’auvent du jardin tout est en quiétude ; [Dans] de pures aspirations, la saveur de la Voie s’éternise. Dans ce paysage printanier, quelques livres et rouleaux Activités discrètes se poursuivant [dans] les effluves d’un brûle-parfum »Wen Zhengming 文徵明 1470-1559.5ème partie L’encens comme art de vivre sous les Ming XIVe -XVIIe siècleLa chambre et les quartiers privésEn raison de sa nature subtile, de ses fonctions désodorisantes, purifiantes et thérapeutiques, le parfum occupait une place importante dans les espaces les plus intimes des intérieurs hiver, Gao Lian 高濂 act. 1580-1600 propose d’emplir une calebasse de matière odorante et de suspendre des vases de fleurs autour du lit pour avoir l’esprit détendu et des idées joyeuses ». L’oreiller pouvait également contenir un sachet ou une galette de parfums. Ces galettes de poudres amalgamées servaient aussi à se parfumer directement en les suspendant à la ceinture ou au cou ; d’après Xiong Zongli 熊宗立 1409-1482, les principaux ingrédients de ces recettes étaient la pivoine shaoyao 芍藥, le santal tanxiang 檀香, le clou de girofle dingxiang 丁香 et le musc shexiang 麝香.Ces parfums pouvaient aussi être portés contre soi dans un étui à parfum en bambou ajouré. Le brûle-parfum portatif, en laque ou en bronze, était considéré comme indispensable pour les rencontres autour du thé, mais aussi pour parfumer les recettes étaient plus particulièrement réservées aux femmes. Celles-ci piquaient des fleurs dans leur chignon jasmin, moli 茉莉, et osmanthe, guihua 桂花, en particulier, ou utilisaient de simples macérats fleurs et huile de sésame. Mais les préparations complexes aux fonctions multiples abondent également dans les écrits de l’époque, qui rapportent la composition d’un grand nombre de cosmétiques. La plupart des substances médicales prescrites se caractérisent par un parfum agréable et durable ; elles sont réputées éclaircir l’esprit », réjouir le cœur », favoriser la circulation du sang et des souffles qixue 氣血, fonction spécialement indiquée pour les femmes selon la médecine traditionnelle. Ainsi le parfum n’est pas seulement conçu comme un agrément, mais un parfums ne sont donc pas uniquement destinés à souligner un statut social, ils servent aussi à assurer santé et bien-être. Ces prescriptions correspondent à un idéal de corps sain d’où émane une fragrance olfactiveDynastie des Qing, entre l’an 1644 et 1911 Recette de poudre pour parfumer les cheveux Xiang fa fen 香髮粉Les matières premières utilisées sont le magnolia liliflora, le bois de santal, le réglisse, l’écorce de racines de pivoine, le clou de girofle, l’huile résineuse de liquidambar orientalis…6ème partie La tradition de l’encens sous les Qing XVIIe -début du XXe siècleLe parfum à la courLes archives impériales de la dernière dynastie permettent de connaître la vie de la cour et de la Cité interdite de manière détaillée. Elles offrent une image saisissante de la valeur de l’encens. Dès le début de la dynastie, l’encens est en effet conservé dans les dépôts impériaux il a le statut de bien d’État. L’approvisionnement de la cour en parfums précieux, en particulier en bois d’aigle chenxiang 沉香, est alors assuré grâce aux envois des provinces du Sud à la capitale et aux tributs versés par les royaumes du Siam et de l’ usages rituels de l’encens occupent une place essentielle dans le système impérial. Les cérémonies d’État qui se tiennent principalement aux temples du Ciel, de la Terre, du Soleil, de la Lune, de l’Agriculture, ainsi qu’au temple des Ancêtres impériaux, s’accompagnent d’offrandes d’encens. Il en est de même des rites perpétués dans les mausolées impériaux et au cours des nombreuses autres cérémonies favorisées par la politique impériale d’ouverture archives impériales confirment aussi l’importance des encens dans la pharmacopée chinoise. Bois d’aigle chenxiang 沉香, ambre gris longxianxiang 龍涎香, Dalbergia odorifera zijiangxiang 紫 降香, clous de girofle dingxiang 丁香, santal blanc baitanxiang 白檀香 sont régulièrement prescrits aux membres de la famille impériale. Les ordonnances médicales de l’impératrice Cixi 慈禧 1835-1908 et de l’empereur Guangxu 光緒 1871-1908 révèlent un usage fréquent des parfums dans les traitements, sans compter les préparations parfumées pour les cheveux et la ces ordonnances témoignent des connaissances pratiques en vigueur à la cour, les grandes encyclopédies impériales réalisent la synthèse écrite des savoirs et des textes anciens sur le parfum, de même que les travaux contemporains de lettrés comme Fang Yizhi 方以智 1611-1671 qui a développé une approche expérimentale de l’encens et de ses composants, marquée par une forme d’objectivité scientifique olfactiveInterprétation contemporaine de François Demachy, Parfumeur-créateur de la Maison Diorbasée sur la recette QingLes matières premières utilisées le magnolia, la rose, l’osmanthus et le jasmin sambac…7ème partie La tradition de l’encens sous les Qing XVIIe -début du XXe siècleL’objet repenséSi l’on considère les trois grands règnes de Kangxi 康熙 r. 1661-1722, Yongzheng 雍正 r. 1722-1735 et, surtout, Qianlong 乾隆 r. 1735-1796, on constate que les objets pour l’encens créés pendant la dynastie Qing sont marqués par la préciosité des matières, la minutie du travail et la délicatesse de l’ornementation. Cette période est en effet caractérisée par un niveau de technicité inégalé dans presque tous les domaines de l’art. Ces nouvelles possibilités techniques favorisent la création d’objets repensés en fonction d’usages spécifiques de l’encens et déclinés dans de nombreux aux côtés des brûle-parfums xianglu 香爐 dont les formes classiques se sont transmises depuis les Song, les brûle parfums cylindriques xiangtong 香筒, les coupelles à encens xiangpan 香盤, les porte-encens xiangcha 香插 et les brûle parfums à encens imprimé yinxianglu 印香爐 sont désormais d’un usage esprit créatif appliqué à l’objet – que l’on appellerait aujourd’hui design » – se retrouve chez des personnalités comme Li Yu 李漁 1610-1680. Dans ses Notes quotidiennes pour une bonne santé Xianqing ouji 閒情偶記, l’écrivain, revendiquant avec humour une forme de paresse, considère l’encens, l’ameublement et la décoration d’un point de vue essentiellement pratique, qu’il applique à tous les aspects de la vie Yue 董說 1620-1686, auteur d’une Méthode d’encens sans fumée Feiyan xiangfa 非烟香法 basée sur l’utilisation de la vapeur, accompagne pour sa part la description de brûle-parfums de son invention de considérations médicales et esthétiques originales. Quant à Ding Yun 丁澐 1829-1879, inventeur d’un brûle-parfum à encens imprimé dont les différents éléments s’emboîtent pour former un ensemble cohérent, il est à l’origine d’une des dernières innovations de l’époque à ce déploiement d’ingéniosité et de technique, une autre tendance du goût s’affirme à travers des objets directement sculptés dans la matière parfumée des bois rares venus du Sud. Ces coupes, rochers miniatures, éventails, simplement déposés dans le cabinet d’étude, témoignent d’une certaine permanence de la tradition lettrée de l’ pratiquesDate Exposition jusqu’au 26 août 2018Lieu Musée cernuschi – 7 avenue vélasquez 75008 ParisSite internet
Depuis des milliers d’années déjà l’Homme utilise cette résine appelée encens » qui par une légère combustion diffuse une fumée odorante. Sa définition et sa fonction restent encore pour beaucoup assez floues. Certaines personnes le considèrent comme un simple diffuseur d’odeur, d’autres comme un soin pharmaceutique et d’autres encore l’associent à des rituels religieux ou ésotérique. L’encens véritable ou encens végétal dispose en effet de nombreuses vertus médicales vantées par ceux qui les connaissent. Néanmoins sa composition étant très peu contrôlée il apparait important d’en apprendre un peu plus sur le sujet afin de pouvoir vraiment profiter de ses bienfaits. Attention ! Les encens synthétiques sont composés de produits chimiques cancérigènes parfum synthétique, charbon, combustible…. Il est donc recommandé de les éviter. L’encens peut provenir de la résine des arbres myrrhe, boswellia, de leurs bois cèdre, cannelle ainsi que des plantes et de fleurs sauge, jasmin. Soyez surtout prudents avec les herbes et fleurs, la mention 100 % naturel » doit toujours apparaitre sur l’emballage. L’encens végétal ancestral est issu des oléo-gommes-résines provenant de l’arbre Boswellia. Il existe encore 25 espèces différentes qui poussent dans plusieurs régions désertiques d’Afrique. L’encens de résine a été administré médicalement durant pendant plusieurs siècles en Egypte, en Chine et en Grèce pour ses vertus de cicatrisation, anti-inflammatoires et respiratoires. L’encens peut être préparé différemment d’un pays à l’autre et avoir différentes fonctions selon les cultures. En Inde, par exemple, il prend généralement la forme d’un cône et est utilisé dans la médecine ayurvédique. Au Japon, il sert plutôt à parfumer la maison et à y créer une ambiance particulière. Il y est disponible sous de nombreuses formes, parmi lesquelles on trouve des cônes, comme en Inde, mais aussi des bâtonnets ou des boules. En règle générale, l’encens japonais produit moins de fumée que son cousin indien. Au Tibet, il est pour les moines un élément incontournable de méditation. La fumée doit être claire blanche ou grise. Si vous constatez des mèches de fumées noires, votre encens est de mauvaise qualité et nocif pour votre santé. L’encens de Benjoin de Sumatra, résine de l’arbre Styrax d’Indonésie, possède des vertus purificatrices et assainissantes. Autrefois appelé le vrai baume », il aide à lutter contre les infections pulmonaires et les problèmes respiratoires. Les odeurs diffusées par les molécules odorantes sous la chaleur agissent sur le nerf olfactif. Celui-ci transmet l’information au système limbique de notre cerveau qui est directement connecté à nos émotions. C’est pourquoi chaque encens aura un impact différent sur notre état émotionnel. Certains encens ont un effet relaxant, d’autres sont plutôt énergisants et d’autres encore favorisent la concentration et peuvent nous accompagner dans des moments de méditation. Dans l’univers ésotérique, chaque encens joue un rôle en particulier. L’encens d’Oliban, ou larmes de Somalie, est par exemple connu pour avoir un impact positif sur les relations familiales. Un bâtonnet d’encens se consume en environ 20 à 30 minutes et il est conseillé de ne pas en brûler plus de deux par jour dans un espace fermé. En effet, une utilisation excessive pourrait provoquer des maux de tête ou des problèmes de santé plus sérieux, tels que des inflammations pulmonaires et des problèmes respiratoires. Certaines études pointent également du doigt les substances cancérigènes présentes dans l’encens et font le rapprochement entre la fumée d’encens et celle de cigarette. Le support à choisir pour l’encens dépend de sa forme. Pour l’encens en bâtonnet, il faut un support muni d’un trou pour accueillir la tige. L’encens en cône, de son côté, doit être posé sur une coupelle qui résiste à la chaleur. Quant à l’encens en poudre ou en petits blocs, il est généralement posé sur un diffuseur de type “chauffe-plat”, sous lequel brûle une bougie. Afin d’éviter de faire voler les cendres, il est important de ne pas placer l’encens près d’une fenêtre ouverte ou dans un endroit propice aux courants d’air. Toutefois, il est toujours préférable d’aérer la pièce dans laquelle vous faites brûler l’encens pour pouvoir faire partir la fumée. Au même titre que les bougies, l’encens doit être utilisé avec précaution. Il ne doit pas être placé près de rideaux ou d’autres matériaux inflammables. Sources
encens qui ne se consume pas signification